Pour me défendre du manque d'assiduité sur la tenue de mes tribulations montréalaises, j'invoque la mise en pratique de nouvelles résolutions. On habite en ville, avec le bruit des voitures et du métro, la pollution visuelle publicitaire, le smug, les voisins très proches et l'odeur fétide d'ordure ou de fumée.
Souvent, ces inconvénients sont balancés avec l'avantage d'être à proximité de tout : des restaurants, cinéma, concert et autres bars à bières. Évidemment, comme beaucoup de gens, on ne profite que rarement des bienfaits de la ville que l'on dresse comme un rempart à toute idée de s'exiler à la campagne.
Depuis un mois, les choses tournent, danse contemporaine, cinéma expérimental, concours de guitare héros, concert de jazz et bientôt 14 séances de cinéma du Festival du Nouveau Cinéma viendront rompre la malédiction du citadin casanier.
et la courge marina di chioggia, elle ne te manque pas trop?
RépondreSupprimer:)
il te reste le jazz
je te conseille, après billy cobham (pardon pour l'orthographe), olivier témine un divin saxophoniste dont le morceau macadam turtle serai fameux avec cette courge!!
bises d'une toulousaine
C'est plutôt la totalité des légumes de l'A.M.A.P. que me manque terriblement. J'ai troqué la marina pour la patate douce, mais heureusement le jazz ne connais pas les frontières; je vais écouter de ce pas ce saxophoniste.
RépondreSupprimer@+ Stéphanie