Petits couacs orthographiques


Les fautes de français sont monnaie courante au pays du bilinguisme et l'orthographe se joue souvent à la loterie.

Il existe aussi la traduction mot à mot qui ne fonctionne pas toujours.

New-York

Montréal


Bonnes adresses #2

Afficher Bonnes adresses Chinatown sur une carte plus grande

C'est toujours un plaisir d'aller traîner à Chinatown pour l'ambiance et surtout pour la bouffe. Je ne suis pas un grand amateur de cuisine asiatique, mais  j'ai quand même mes petites préférences auxquelles je fais honneur régulièrement.

Voici pour la soupe, dans un décor spartiate légèrement kitsch. Incroyablement bon marché, les portions sont très généreuses.

Au passage, un petit sandwich aux saveurs asiatiques, le célèbre Bamh Mi.

Toutes mes visites dans ce quartier se terminent invariablement par une visite des pâtisseries de la partie piétonne de la rue de la Gauchetière.

Grosse Pomme



Avec plus de 30°C sur l'île de Manhattan la semaine dernière, nous avons apprécié l'abus de climatisation dont font preuve les New-Yorkais. 

Ma plus grande surprise fut la taille de cette île. Comparativement à l'île de Montréal, Manhattan se parcourt bien à pied. Les rues paraissent moins larges, mais la hauteur des buildings est vertigineuse : c'est une île verticale, dense, puante, mouvante, intense.

Vivant déjà dans une ville d'Amérique du nord, le choc culturel n'a pas vraiment eu lieu : les brunchs, les bagels, les taxes et les pourboires non inclus, le gaspillage et le 120 Volts ne bouleversent pas le quotidien.

Jouissant de sa réputation mondiale, cette ville abuse des superlatifs et des produits dérivés. La deuxième économie de la ville, après Wall-Street, est le tourisme, alors le plus grand musée d'art moderne du monde côtoie le plus grand musée d'histoire naturel où s'érigent les plus grands dinosaures du monde. J'avoue que la densité culturelle, le mélange de population issue de toute la planète, la dimension politique et économique de cette ville en font un point central mondial.

Les Étasuniens ont ce point commun avec les Français : ils se croient au centre du monde. C'est peut-être un peu plus vrai pour les premiers.