l'audition SVP!

La chanson poison, le petit air qui reste dans la tête qui nous obsède pendant des heures sans pouvoir s'en débarrasser, tout le monde connaît. Et bien des chercheurs francophones ont eu la bonne idée d'établir un classement de ces poisons auditifs:

Le palmarès en écoute

Je ne mentionnerai pas le grand gagnant pour éviter la contamination. Je peux aussi vous faire part de mon nouveau remède qui m'a été transmis par Pierre. En cas de chanson poison, il faut juste penser à "Agadou! dou! dou!", la substitution est garantie.

Cinq bonnes raisons d'écouter du blues




Web music player
Quantcast

1- Il pleut

2- L'actualité nationale

3- L'actualité internationale

4- Je dois aller chez le dentiste

5- Il faut bien de la musique pour faire la vaisselle

Où est Casimir?


Quand j'ai débuté mon travail d'aide-bibliothécaire, j'étais loin d'imaginer que j'allais aussi travailler dans les bibliothèques pour enfants. Pour tout dire, on ne choisit pas, on prend le boulot où il se trouve et c'est parfois sur cet étage bruyant.

Oui, les enfants laissent traîner des livres partout, ils jouent parfois à l'aide-bibliothécaire et rangent des livres n'importe où, ils pleurent souvent et courent.... ce sont donc des enfants. Ils sont aussi parfois surprenants et adorables, je le concède, mais leurs livres sont la plupart du temps sans intérêt véritable. C'est pourquoi, cette semaine je suis tombé sur une perle, que je ne résiste pas à partager sur ce blog. Le Piou, idiot d'oiseau retient particulièrement mon attention. Je succombe d'ailleurs à la transgression des autorisations et fournis une autre planche de Baba, Tartuff, Lapuss'. Vous aurez peut-être envie de lire le reste qui mérite également le détour.

Pendant que j'y suis, si comme moi l'humour "pipi caca" vous plie en deux, voici Zblu Cops de Bill & Gobi. Violence, enquête et super antihéros. Savourez!

Pêle-Mêle


Le 28 avril 2010, dernier souffle de l'hiver, on pourrait appeler cela l'hiver indien.


Le lendemain, on passait à autre chose.


Puis, j'ai mis beaucoup d'énergie à me battre contre mon propre syndicat - qui méprise toujours autant ses membres.


Ensuite, j'ai aidé Karibou dans ses différentes tâches professionnelles. Disons que j'ai participé activement à la logistique ménagère. Je porte à votre attention le fait que l'acronyme A.C.F.A.S. signifie, bien évidemment, "Association francophone pour le savoir" - il y a des lettres qui se sont perdues dans l'équation : les chercheurs sont aussi des prestidigitateurs!




Enfin, J'ai assisté à plusieurs match de Hockey dans le but de continuer mon étude sociologique sur l'opium du peuple et sa folie catharsique.